La science des pauvres. Traité de la richesse mortelle

La science des pauvres. Traité de la richesse mortelle

Author: Fradin Jacques

Published: 2006


Jacques Fradin, [i]La science des pauvres. Traité de la richesse mortelle[/i], Paris, L'Harmattan, coll. « Nous, les sans-philosophie », 2006.

Comment redonner des couleurs à ce qui se nomme encore [i]sciences[/i] "sociales" (ou "humaines", philosophiques de toute manière) ? Comment ramener à la vie ces dites [i]sciences[/i], aujourd'hui appareillées, académisées, dogmatisées, transformées en manuels-de-catéchismes, voire en outils [i]savants[/i] de propagande, finalement inféodées aux petits robber barons industrialistes et à leur état "féodal-impérial" ? Comment remettre en mouvement la puissance critique (que contient la [i]science[/i], "nécessairement") ? Hors des rets de l'Etat (éco)-Nomiste, hors du service officiel de [i]l'agrégation[/i]. Une nouvelle science radicalement démocratique [an-archique], voilà ce qui doit être introduit.
Ces prolégomènes constituent une tentative de création d'une science nouvelle du social ou de l'économie, depuis le Réel (de) Pauvreté - [i]science (du) Pauvre[/i].
Ces prolégomènes peuvent aussi être envisagés comme la perlaboration, longue & lente, du plus ancien projet de science sociale unifiée, science selon (et pour) l'homme-réel, le Pauvre, soit dire encore une éthique, éthique (de la) démocratie illimitée.
Ce projet, qui sera également dit [i]non-marxiste[/i], repris de plusieurs manières depuis un siècle et demi, n'est finalement devenu [i]praticable[/i] ("oeuvrable"") que grâce à la création de la [i]Non-Philosophie[/i], grâce aux avancées créatives les plus audacieuses, les avancées [i]non-philosophiques[/i] de la science radicale, de la science non-marxiste - non-éthique.
Science radicale critique, depuis le réel (de) Pauvreté, de la richesse mortelle.

[i]Jacques FRADIN, chercheur (et enseignant) en économie (Paris, Besançon, Montréal, New York, Lille, Grenoble, etc.) depuis 1966, a été déterminé, pour la cause des Pauvres, à mener de longues études et recherches éthiques, exigeant de critiquer l'économique, pour montrer qu'il ne saurait y avoir d'économie pour l'homme, qu'une démocratie selon l'homme exige l'abolition de l'économie.[/i]