Erik Del Bufalo
Né en 1972, Erik Del Bufalo est docteur en philosophie de l’Université Paris X-Nanterre.
Membre de l'association Non-philosophie, le Collectif, il enseigne à l’Université Simón Bolivar et à l'Université Central du Venezuela.
Il a publié Deleuze et Laruelle. De la schizo-analyse à la non-philosophie, Paris, Kimé, « Bibliothèque de non-philosophie », 2003.
Son travail, sur des matériaux philosophiques particulièrement contemporains, vise une théorie unifiée de la pensée (la science, l’art, la philosophie) et de la psychanalyse, notamment celle qui est déduite du matériau lacanien.
Sa recherche se déroule sur le champ de l'unilatéralité ou universalité du Réel par rapport à tout sujet, mondain ou non, transcendantal ou pas.
Ce travail se dirige non seulement vers une théorie unifiée, donc insuffisante, du sujet, mais plus profondément vers une théorie de l’immanence unilatérale du Réel et du Sujet.
Le champ de cette théorie unifiée est donné par des propositions lacaniennes du type « il n’y a pas de méta-langage » ou « l’inconscient est le discours de l’Autre », où elles sont thématisées en tant que théorèmes dont la pertinence est de l'ordre de celle des démonstrations de Gödel.
Le but éthique donc, ou plutôt non-éthique, de cette démarche forcément non-philosophique : sortir le sujet de la clôture du monde, empirique et transcendantal à la fois, voire de la suffisance philosophique.
Membre de l'association Non-philosophie, le Collectif, il enseigne à l’Université Simón Bolivar et à l'Université Central du Venezuela.
Il a publié Deleuze et Laruelle. De la schizo-analyse à la non-philosophie, Paris, Kimé, « Bibliothèque de non-philosophie », 2003.
Son travail, sur des matériaux philosophiques particulièrement contemporains, vise une théorie unifiée de la pensée (la science, l’art, la philosophie) et de la psychanalyse, notamment celle qui est déduite du matériau lacanien.
Sa recherche se déroule sur le champ de l'unilatéralité ou universalité du Réel par rapport à tout sujet, mondain ou non, transcendantal ou pas.
Ce travail se dirige non seulement vers une théorie unifiée, donc insuffisante, du sujet, mais plus profondément vers une théorie de l’immanence unilatérale du Réel et du Sujet.
Le champ de cette théorie unifiée est donné par des propositions lacaniennes du type « il n’y a pas de méta-langage » ou « l’inconscient est le discours de l’Autre », où elles sont thématisées en tant que théorèmes dont la pertinence est de l'ordre de celle des démonstrations de Gödel.
Le but éthique donc, ou plutôt non-éthique, de cette démarche forcément non-philosophique : sortir le sujet de la clôture du monde, empirique et transcendantal à la fois, voire de la suffisance philosophique.