RE: Le corps et la perception du beau
Le beau est uni dans l’un. De même que le vrai et le bien. Ainsi l’immanence s’atteint dans l’un. Le beau, le vrai et le bien sont des discours, des façons de parler secondaires, médiatrices et non des visions en un. Cette demi-transcendance du logos, mixte de l’être et de l’un, n’expliquera donc pas l’un lui-même. Qui n’est ni un procédé technique, ni plus généralement un logos. Ce qui nous renvoie d’une façon toute nouvelle aux discours... et par exemple sur les rapports du corps et du beau... où le beau s’unira techniquement au vrai et au bien, mais avec une technique particulière que nous posons axiomatiquement (nous y sommes obligés par les pouvoirs du sens constitué, toujours mixtes) comme unalitéralisée par l’un. C’est pourquoi (entre autre) la non-philosophie n’est pas un discours mais une gnose, non pas une encyclopédie discourante (et qui remplacerait le discours des sciences), mais une gnose atteinte directement dans l’immanence de sa condition propre. Une non-philosophie que je préfère appeler théorie des identités. Car c’est dans cette vision en un que se vit l’identité, et disons la réalité de tout un chacun, quand agit cette unilatéralisation à l’intérieur du discours.
Ainsi, considérant que les discours, le logos, la transcendance en général, sont des éléments mixtes et qui n’atteignent en aucune façon à la vérité de l’un, au réel immanent, j’ai considéré (la nature a horreur du vide et moi de la dépression) la possibilité d’une transcendance naturelle, d’une Nature qui agirait elle aussi sur le mode immanent propre à l’un philosophique et se passerait de nos discours secondaires : les identités sont le sujet/objet des sciences, ici l’identité naturelle. Un peu si vous voulez comme les panthéistes remplaçant l’ontologie par la nature, ce qui avait déjà été un progrès vers la science. Mais un peu seulement car ce naturel est posé axiomatiquement comme un mode de l’immanence et non pas comme un sujet de discours, comme un pathos plus qu’un logos.
Prenons donc les catégories constituées du beau, du vrai et du bien, considérons qu’elles sont unies (peut-être par le corps, sans doute par l’ego, et techniquement par la pensée...) et nous obtiendrons une réponse consistante à votre question. Du moins dans les termes de ma gnose laruellienne.
Ainsi, considérant que les discours, le logos, la transcendance en général, sont des éléments mixtes et qui n’atteignent en aucune façon à la vérité de l’un, au réel immanent, j’ai considéré (la nature a horreur du vide et moi de la dépression) la possibilité d’une transcendance naturelle, d’une Nature qui agirait elle aussi sur le mode immanent propre à l’un philosophique et se passerait de nos discours secondaires : les identités sont le sujet/objet des sciences, ici l’identité naturelle. Un peu si vous voulez comme les panthéistes remplaçant l’ontologie par la nature, ce qui avait déjà été un progrès vers la science. Mais un peu seulement car ce naturel est posé axiomatiquement comme un mode de l’immanence et non pas comme un sujet de discours, comme un pathos plus qu’un logos.
Prenons donc les catégories constituées du beau, du vrai et du bien, considérons qu’elles sont unies (peut-être par le corps, sans doute par l’ego, et techniquement par la pensée...) et nous obtiendrons une réponse consistante à votre question. Du moins dans les termes de ma gnose laruellienne.
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