RE: Le corps et la perception du beau

C’est donc bien du clonage dont il est question, de la possibilité d’un discours. Car s’il existe la possibilité (une charge de sens) du clonage, rien (sous conditions axiomatiques) ne nous interdit la tentative d’un clonage de l’un (en un) dans les discours constitués de la science primaire, dans ceux de ses médiateurs.
technique du clonage de l’un (en un) dans x :
Logos et pathos sont distingués pour montrer que cet essai d’une transcendance naturelle non-thétique est initial, reste dans l’initial et ne se constitue pas - ce qui ferait échec à la procédure - en tant que discours. La science ayant comme horizon général, transcendantal et transcendant, la nature (et les sciences humaines la nature humaine), nous posons axiomatiquement comme essentiel à cette nature l’immanence radicale un. Mais l’équilibre est ici instable et la TNNT risque à chaque moment de dépérir, de mourir : la science de dépasser son horizon.
Heidegger distinguait déjà horizon naturel (harmonies extatiques du quadri-parti), et horizon de la technique (trop souvent déréalisation des identités). Mais alors que l’horizon naturel (en mode immanent) garde son identité, son immanence, sa réalité, son ego (et nous régénère-nourrit de ses harmonies) ; l’horizon de la technique doit faire un effort supplémentaire pour atteindre à cette adéquation et ne pas se perdre dans des mixtes déréalisant et autres hallucinations transcendantales qui signent toujours en conséquence et finalement l’agression identitaire.
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