RE: TR 2006 : Une longue route sans commencement ni fin
Je ne suis pas sûr d’avoir compris le point de vue, et particulièrement, je ne suis pas sûr que nous soyons en <b>désaccord</b>…
<i>Réalité possible</i> et <i>possible irréalité</i>, sont – pour un non-philosophe – des matériaux philosophiques. (donc indispensable à sa pratique, mais pas suffisants). D’autres matériaux sont décidables, matériaux qui pourraient être jugés en contradiction avec ceux-ci, sans que ça lui nuise.
Tout comme la notion d’Existence, ex-istence (être dehors, mais en dehors de quoi ?), sans parler du nulle part, de l’ailleurs, de l’ici et du partout. Rien n’empêche la pratique de ces matériaux, mais ils resteront « rattachés » à une philosophie. Et rien ne garantie en Réel qu’il n’est pas une philosophie qui ignore ces concepts en son Monde.
Ce qui, je le répète, ne signifie pas qu’il ne faut pas les pratiquer, au contraire, la non-philosophie nécessitant la présence en Réel de la-philosophie.
Quand à votre définition d’induction <i> « dégager un caractère commun, une loi » </i>, c’est une définition couramment utilisée en philosophie. Elle n’est donc – en tant que telle – pas surprenante.
La non-philosophie (et moi en particulier) se demande seulement :
· Qu’est ce que l’identité (et donc l’identité d’un Objet, puis l’identité d’un « Autre » objet (comment sais t’on l’Autre ?)), puis <b>qu’est donc cette synthèse à 3 termes qui de deux fait un Un</b>.
· Qu’est ce que le commun ? y a-t-il des critères (catégories, caractères) objectifs (qui forment objet) ? qu’elle est l’opération qui « dit le comparable » ?
· Et cette identité est elle « nécessairement Vraie » ? ou le Réel et le Vrai ne sont il pas <i>différents</i> ? (donc – pour un non-philosophe – le Vrai est il « immanence radicale » ?)
Toutes ces questions ne s’opposent pas aux vôtres, elles disent seulement « qu’une seule réponse définitive » sera peut être difficile à trouver…
<i>Réalité possible</i> et <i>possible irréalité</i>, sont – pour un non-philosophe – des matériaux philosophiques. (donc indispensable à sa pratique, mais pas suffisants). D’autres matériaux sont décidables, matériaux qui pourraient être jugés en contradiction avec ceux-ci, sans que ça lui nuise.
Tout comme la notion d’Existence, ex-istence (être dehors, mais en dehors de quoi ?), sans parler du nulle part, de l’ailleurs, de l’ici et du partout. Rien n’empêche la pratique de ces matériaux, mais ils resteront « rattachés » à une philosophie. Et rien ne garantie en Réel qu’il n’est pas une philosophie qui ignore ces concepts en son Monde.
Ce qui, je le répète, ne signifie pas qu’il ne faut pas les pratiquer, au contraire, la non-philosophie nécessitant la présence en Réel de la-philosophie.
Quand à votre définition d’induction <i> « dégager un caractère commun, une loi » </i>, c’est une définition couramment utilisée en philosophie. Elle n’est donc – en tant que telle – pas surprenante.
La non-philosophie (et moi en particulier) se demande seulement :
· Qu’est ce que l’identité (et donc l’identité d’un Objet, puis l’identité d’un « Autre » objet (comment sais t’on l’Autre ?)), puis <b>qu’est donc cette synthèse à 3 termes qui de deux fait un Un</b>.
· Qu’est ce que le commun ? y a-t-il des critères (catégories, caractères) objectifs (qui forment objet) ? qu’elle est l’opération qui « dit le comparable » ?
· Et cette identité est elle « nécessairement Vraie » ? ou le Réel et le Vrai ne sont il pas <i>différents</i> ? (donc – pour un non-philosophe – le Vrai est il « immanence radicale » ?)
Toutes ces questions ne s’opposent pas aux vôtres, elles disent seulement « qu’une seule réponse définitive » sera peut être difficile à trouver…
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