RE: TR 2006 : Une longue route sans commencement ni fin
Kant distingue en effet le temps apparent des phénomènes, « un temps qui passe », tout en devenir, et le temps essentiel, « qui ne passe pas », proprement philosophique qui le fonde (ce temps comme « substratum » ou « forme constante de l’intuition interne » qui « demeure et ne change pas »). De sorte qu’il n’attribue pas de réalité absolue au temps indépendante de cette condition subjective. C’est là je dirais presque une tradition de la pensée philosophique que d’en appeler à l’idée de quelque substance éternelle au fondement du monde réel, temporel !
De sorte que, malgré ce que vous dites, je vous réponds qu’il n’est pas besoin d’être hors de la philosophie pour que le temps « ne passe pas », bien au contraire, c’est là un mode de pensée qui nous y conduit parfois sinon souvent de manière sure, à condition d’ « y « croire » !
Après quoi, comme je ne soupçonnais pas le moins du monde que vous puissiez ignorer cette tradition philosophique, j’ai mis spontanément , « librement » votre affirmation au compte de la mauvaise foi la plus éhontée ! De là sans doute le tour volontairement taquin plus qu’insultant, méprisant de ma précédente réponse.
De sorte que, malgré ce que vous dites, je vous réponds qu’il n’est pas besoin d’être hors de la philosophie pour que le temps « ne passe pas », bien au contraire, c’est là un mode de pensée qui nous y conduit parfois sinon souvent de manière sure, à condition d’ « y « croire » !
Après quoi, comme je ne soupçonnais pas le moins du monde que vous puissiez ignorer cette tradition philosophique, j’ai mis spontanément , « librement » votre affirmation au compte de la mauvaise foi la plus éhontée ! De là sans doute le tour volontairement taquin plus qu’insultant, méprisant de ma précédente réponse.
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